C’est aussi, face aux enjeux globaux qui nous préoccupent, une manière de prendre en compte la nécessaire accessibilité à tous de ces solutions low-tech, en particulier pour les pays les moins avancés pour lesquels les solutions à haute valeur technologiques sont souvent inatteignables.
Est-ce que vous connaissez des personnes qui ont répondu à cet appel à projet ?
Bonjour Alexandre,
On est en train de tenter de construire une réponse à Lille. Le projet serait de développer des outils et des techniques low-techs dans des ateliers bois en cours de développement dans la région, avec un chapitre de sociologie autour de la construction des ateliers en comparant un site rural et un site urbain.
Pour l’instant, nous sommes en train de constituer un groupe autour de Centrale Lille, Polytech Lille, deux, voire trois assos de la région, une mairie à l’origine de l’un des projets et il nous manque quand même de trouver un.e sociologue, puisque l’appel à projet demande une collaboration d’au moins deux laboratoires affiliés CNRS ou IRD.
Bonjour,
Nous y allons aussi sur la construction d’une méthodologie techno-critique pour le développement d’instrumentations de Recherche sobre et durable !
Bonjour à tous,
Finalement, nous n’avons pas soumis, nous n’avons pas réussi à avoir un sociologue dans les temps. On est en train de déposer un FEDER en revanche, sur « habiter low-tech » avec la mairie de Roubaix, Vilogia et plusieurs institutions publiques belges.
On verra bien ce que ça donne…
Bonjour Remi,
Oui nous avions répondu : la réponse est négative.
On ne peut pas avoir une réponse positive à tous les coups, mais par contre nous sommes déçu de constater qu’à l’image de nos politique le CNRS confond « sobriété » et « efficacité » dans son bilan de l’AAP:
