Bonjour,
Étudiant en première année du master Sociétés et Biodiversité au muséum national d’histoire
naturelle, je suis passionné par les low-tech et les expérimente à mon échelle, depuis des années. Je souhaite désormais aller plus loin et mettre mes compétences en sciences humaines et sociales, alliées à ma maîtrise des enjeux techniques et scientifiques, au service cette approche.
A cette fin, je souhaite vivement échanger avec vous sur les différents besoins identifiables - aux frontières entres sciences humaines et technique - au sein des initiatives low-tech et d’éventuels projets de recherche sur ce sujet. Devant faire un stage à la mi-mars dans le cadre de mon master 1, je désirai travailler sur ces problématiques, à préciser avec vous.
Ma formation actuelle, centrée sur les dynamiques sociales et écologiques au sein de la transition écologique, m’encourage à me pencher sur les low tech pour tenter d’en décrire leur dynamique et relation à la société. Mes cours, largement interdisciplinaires, couvrent ainsi l’anthropologie de l’environnement, l’écologie scientifique et l’ethnoécologie. Nous apprenons également différentes méthodes de récoltes et d’analyses de données, en sciences sociales (observation, entretiens, questionnaires) comme en sciences naturelles (échantillonnages). Nous tentons de comprendre les principes d’engagements individuels et collectifs en mobilisant des approches venant de la psychologie de la conservation et de la sociologie des organisations. Enfin, je m’appuie sur mes acquis de ma licence de physique pour comprendre les enjeux techniques des low-tech.
N’hésitez pas à me répondre pour engager la conversation, proposer un stage, ou bien me rediriger vers d’autres personnes. Vos conseils et critiques sont également les bienvenus, et m’aideront à avancer dans mon projet.
Marc Lamé